Conseils

J'entends parfois dire « j'ai terminé mes recherches généalogiques » ou bien « j'ai tout lu, tout vu, tout exploité alors je suis forcé(e) d'arrêter ma quête ». Cela ne cesse de me surprendre.

C'est une histoire assez triste en fait. Une histoire qui arrive dans de nombreuses familles, souvent. Une histoire d'héritage, de transmission ou plutôt de « non transmission ». Je veux parler de ces archives privées qu'on retrouve dans les brocantes, les ventes aux enchères publiques ou sur les sites Internet spécialisés. Malheureusement, il faut se rendre à l'évidence : si ces documents sont là, aujourd'hui, c'est souvent parce qu'ils ne concernent plus personne...
Lire la suite : Pourquoi certaines archives sont-elles vendues sur Internet ou ailleurs ?

Alors que toute la France a été couverte par des recensements nominatifs dès 1831 (même si certains existaient antérieurement et d'autres n'ont pas été conservés), la capitale en a été dispensée jusqu'en 1926.
Impossible, donc, d'utiliser cet outil pour localiser des Parisiens avant cette date. Il existe néanmoins plusieurs moyens pour retrouver le domicile d'ancêtres dans les rues de Paris depuis la nuit des temps. Ou presque.
Voici quelques conseils et suggestions...
Lire la suite : Retrouver le domicile d'ancêtres à Paris avant 1926
Lorsque j'ai commencé mes recherches généalogiques, il y a 41 ans, je suis remonté rapidement jusqu'aux parents de ma grand-mère paternelle car celle-ci vivait avec nous et conservait dans un coffre les papiers qu'elle jugeait importants.
J'ai donc très tôt connu le visage de son père, mon arrière-grand-père, né exactement un siècle avant moi ; j'ai appris tous les détails de sa vie jusqu'à son inhumation, dans ce cimetière parisien où nous allions nous recueillir chaque année, pour la Toussaint.
Lire la suite : La remise en cause, principe salvateur de la généalogie

Les archives de Paris ont mis en ligne les recensements de la capitale pour 1926, 1931 et 1936, c'est l'occasion de vous proposer une méthode pour accéder à ce que vous voudrez y chercher.

L'heure de relevée, c'est tout simplement l'après-midi. Cette locution adjectivale « de relevée » a un peu vieilli et rappelle l'époque où on comptait les heures sur une échelle allant de 1 à 12 et non pas de 1 à 24 comme c'est généralement le cas aujourd'hui.